Parlez-nous un peu de vous.

Je m’appelle Nate Blackton. Je viens de La Salle et je suis un étudiant de troisième année en Informatique à l’Université de Windsor. J’aime faire de la voile et jouer de la musique. Je joue de la guitare basse dans un groupe appelé Talking Violet.

Pourquoi avez-vous décidé de travailler pour l’APWD?                 

J’étais intéressé par le travail qu’ils offraient. Cette organisation est encore très jeune, et le département des TI en est encore à ses premiers pas, et ça m’intriguait, car je n’avais auparavant travaillé que dans des environnements plus vieux et établis. L’idée de prendre cette charge de travail me tentait beaucoup, et j’avais hâte de mettre en pratique mes connaissances préalables en scriptage dans un nouvel environnement.

Comment se sont passées vos premières journées à l’APWD?

L’APWD m’a offert à moi personnellement une opportunité plus indépendante. Être dans un environnement de travail si jeune me donnerait la chance d’assumer des tâches qui influenceront le quotidien de l’entreprise. D’autres employeurs avaient mis en place des itinéraires et des programmes de stage, alors qu’ici je m’occupe des mêmes tâches que mes collègues de travail. Je me disais qu’il serait pratique de voir de quelle manière mon travail touche directement les opérations de l’entreprise.

Comment pensez-vous que ce stage bénéficiera votre future carrière?

D’après ce que j’ai pu voir jusqu’à maintenant, le désir d’apprendre a été l’une des valeurs les plus importantes dans mon département. J’apprends quelque chose de nouveau presque tous les jours ici, qu’il s’agisse de gérer des imprimantes ou de découvrir des faits sur nos serveurs. Il faut être déterminé et ouvert d’esprit pour œuvrer quotidiennement vers une meilleure fonctionnalité, et je crois que ces valeurs sont à l’avant ici.

Si vous pouviez avoir des pouvoirs de superhéros, quels seraient-ils?

J’aurais des pouvoirs de végétalien comme Todd Ingram dans Scott Pilgrim. Ça comprend la télékinésie, la télépathie, et des pouvoirs de mutation.

 

Parlez-nous un peu de vous.

Mon nom est Nour Chehade et je suis de Windsor. J’étudie en Génie civil à l’Université de Windsor. J’aime beaucoup faire des casse-têtes qui ont un grand nombre de morceaux - plus il y en a, plus j’ai du plaisir à le faire.

Pourquoi avez-vous décidé de travailler à l’APWD?

Eh bien, c’est parce que l’APWD travaille actuellement sur un projet si important, et je ne crois pas que j’aurai l’occasion de refaire quelque chose de ce genre de si tôt. C’est très rare de voir la construction d’un tout nouveau pont à Windsor, alors je me suis dit qu’il serait très intéressant d’y participer.

Quelles compétences pensez-vous que l’APWD peut vous aider à développer?

Je dirais une meilleure éthique de travail, car ici tout le monde a une excellente éthique de travail. Leur façon de travailler ensemble est vraiment bonne. Mes compétences en communication se sont également améliorées, car je suis toujours dans des réunions et je rencontre sans arrêt de nouvelles personnes.

En trois mots, comment décrieriez-vous la culture de votre environnement de travail?

Je dirais amical, professionnel et, avant tout, compétent.

Dans un combat de lutte, qui gagnerait : un taco ou un burrito et pourquoi?

Un taco ou un burrito? Hmmm... Je dirais un burrito, parce qu’un burrito, ça se tient. Avec un taco, si on le pousse, c’est fini. Mais un burrito, s’il est poussé, certains morceaux vont tomber, mais la plus grande partie va rester à l’intérieur.

 

Parlez-nous un peu de vous.

Mon nom est Hilda. Je suis de Windsor. Je suis étudiante de troisième année en Génie civil à l’Université de Windsor. Comme passe-temps, je fais du yoga.

Pourquoi avez-vous décidé de travailler pour l’APWD?

L’APWD offre une opportunité unique et incroyable de prendre part à un projet de pont qui ne se présente qu’une fois dans une vie. La description du stage m’intéressait, puisque ce poste me permet d’explorer et de vivre l’expérience de l’aspect gestion de projets du génie civil.

Comment se sont passées vos premières journées à l’APWD?

Comme il s’agit d’un retour, j’ai entamé des tâches à compléter et j’ai pris part à des réunions dès les premiers jours, et ce, sur et à l’extérieur du chantier. Ce fut un bon départ et je suis emballée par l’expérience que je vais acquérir le long du reste de mon stage coopératif à l’APWD.

Comment pensez-vous que ce stage bénéficiera votre future carrière?

J’ai la chance de prendre part aux travaux en gestion de projets : révision de contrats, de calendriers, et participation à des réunions. Ce poste m’expose à l’industrie et me donne une opportunité de développer mes compétences et mes connaissances en gestion de projets.

Entre un canard de la taille d’un cheval ou 100 chevaux de la taille d’un canard, contre quoi vous battriez-vous?

Je préférerais me battre contre un canard de la taille d’un cheval, puisque je n’aurai à m’occuper que d’un seul canard, malgré sa taille plus imposante. En plus, si je suis capable de dompter le canard grand comme un cheval, peut-être pourrais-je le monter!

 

Parlez-nous un peu de vous.

Bonjour! Je suis Emerson Dean et je suis de Windsor, en Ontario. Je suis un étudiant en Administration des affaires spécialisé en finances. Je pratique le hockey et les sports en général. Détail intéressant, j’ai conquis le burger Fat Schmoe, un fait que l’on disait impossible à réaliser.

Pourquoi avez-vous décidé de travailler à l’APWD?

Je souhaite enrichir mon expérience en environnements de travail. J’ai déjà travaillé dans de petites entreprises et là j’ai l’opportunité de travailler dans un organisme gouvernemental. J’aime beaucoup ça ici - le poste correspond à ma personnalité et à mes compétences.

Comment voyez-vous la suite de votre carrière?

J’ai toujours rêvé d’être en affaires, mais j’essaie de trouver où exactement. Après avoir suivi des cours à l’université, j’ai décidé de me concentrer sur les finances et j’y excelle alors je crois que c’est le bon chemin à prendre. Je peux m’imaginer jouer éventuellement un rôle en finances, peut-être quelque chose du genre conseiller ou contrôleur financier. Je ne suis pas encore certain, mais définitivement dans le secteur des finances.

Est-ce que votre travail ressemble à ce à quoi vous vous attendiez?

Je ne m’attendais pas à travailler sur des documents aussi importants - les états des flux de trésorerie qui sont déclarés et publics. Je pensais travailler sur des tâches plus correctives. J’aime aussi l’environnement de travail ici - tout le monde est calme et drôle. Tout le monde aime travailler ensemble et s’il y a un problème, tout le monde s’aide.

De quelle façon pensez-vous que votre séjour à l’APWD vous fera vous démarquer de stages à d’autres endroits?

Je crois que le niveau de travail auquel je suis me démarque. Comme je l’ai dit plus tôt, je travaille sur d’importants documents qui m’offrent de l’expérience en comptabilité, en finances et aussi en administration. Plus important encore, avoir une expérience de travail auprès et une bonne référence d’une entité gouvernementale me démarquerait définitivement.

Si vous deviez chanter une chanson par cœur pour sauver votre vie, quelle serait-elle?

Définitivement Eins Zwei Polizei de Mo-Do!

 

Parlez-nous un peu de vous.

Mon nom est Courtney Ellis et je suis de Hamilton, en Ontario. Je suis un étudiant de quatrième année en Communications, médias et cinéma à l’Université de Windsor. À part le travail ou les études, je passe la plupart de mon temps en tant qu’athlète universitaire pour l’équipe de football des Lancers.

Pourquoi avez-vous décidé de travailler à l’APWD?

Travailler avec l’APWD m’offre une opportunité incroyablement rare et unique de faire partie de la création du plus récent point d’entrée entre le Canada et les États-Unis. Cette occasion me donne également l’opportunité de me familiariser avec les politiques gouvernementales, les affaires internationales, et les relations avec les intervenants. L’APWD m’a déjà démontré comment mon diplôme peut me mener dans n’importe quel de ces secteurs et plus encore.

Quelles compétences pensez-vous que l’APWD peut vous aider à développer?

Jusqu’à maintenant, j’ai réalisé que l’APWD peut m’aider à acquérir de riches compétences en gestion de médias sociaux au sein d’une capacité gouvernementale, en conservation de médias numériques, et en relation avec des intervenants, tout en m’offrant de l’expérience en sensibilisation communautaire.

En trois mots, comment décrieriez-vous la culture de votre environnement de travail?

Mon environnement de travail est productif, coopératif et collaboratif.

Si vous pouviez organiser une parade au bureau, de quoi aurait-elle l’air?

Ça serait une parade de Noël. L’occasion peut vraiment être interchangeable. Je pense que tout le monde apprécierait une autre chance de profiter de gâteries savoureuses et de bonne bouffe au travail.

 

 

Parlez-nous un peu de vous.

Je suis Samantha Marasco de Man et je viens de Toronto. Je suis en troisième année en administration des affaires avec une concentration en RH. Une chose que la plupart du monde ignore à propos de moi est que mes pouces sont hyperlaxes - je peux les plier vers l’arrière et ça fait vraiment flipper les gens.

Pourquoi avez-vous décidé de travailler à l’APWD?

J’ai vraiment apprécié les valeurs véhiculées lorsque je suis venue passer mon entrevue - c’est évident que les gens aiment travailler ici. Et, j’ai bien aimé le fait qu’il s’agit d’un énorme projet qui est également connecté à la communauté. Je crois que c’est très important dans une ville comme Windsor, où tout est si soudé et que la communauté est un aspect important de tout ce qui s’y passe. J’ai trouvé ça très admirable.

Est-ce que votre travail ressemble à ce à quoi vous vous attendiez?

Avant de commencer, j’étais très nerveuse, car il s’agit d’un environnement beaucoup plus petit que ceux dans lesquels j’ai l’habitude de travailler, mais tout le monde était super accueillant et le travail est très intéressant et enrichissant. C’est un endroit excellent pour apprendre, particulièrement pour un étudiant, parce que vous faites l’acquisition de beaucoup d’expérience et d’informations. Tout le monde veut vous aider à apprendre et vous aider à vous rendre à un niveau où vous êtes confortable pour explorer la vraie vie. Ça m’a donc aidé à me calmer les nerfs et je suis beaucoup plus confortable et heureuse aujourd’hui.

Quelle est la tâche qui vous a posé le plus de difficulté?

Eh bien, il y a beaucoup de documents, particulièrement en RH, qui doivent être enregistrés d’une manière particulière, car ils sont si importants. Nous avons à faire avec les informations de paie de personnes et autres matières sensibles, alors j’étais simplement très nerveuse parce que ces informations sont si importantes. Je ne voulais pas me tromper. Mais, Julie et Michelle sont ouvertes - je peux simplement cogner à leur porte à n’importe quel moment. Si j’ai une question, elles prennent toujours le temps de m’aider. Elles sont accueillantes et sont toujours là pour me donner le sentiment que je peux leur demander n’importe quoi afin d’effectuer la tâche.

De quelle façon pensez-vous que votre séjour à l’APWD vous fera vous démarquer de stages à d’autres endroits?

Je crois que la grande quantité de rayonnement que je reçois me démarque. Mon ancien stage était également très intéressant, mais les choses étaient beaucoup plus traditionnelles. Parce que nous sommes une nouvelle organisation et que nous sommes une société d’État, il y a tant d’étapes et de manières différentes de faire les choses. C’est pourquoi que crois que ce stage me place dans une position unique qui me permet de non seulement acquérir de l’expérience traditionnelle en RH, mais aussi d’acquérir d’autres aspects uniques des RH.

Quel est le meilleur conseil que vous avez jamais reçu ou donné?

Le meilleur conseil que l’on m’a donné est de ne jamais avoir peur de poser des questions ou d’être vulnérable. Je crois que tout le monde a vraiment peur de se montrer vulnérable et de demander de l’aide, mais si vous vous limitez d’une certaine façon, vous fermez la porte à de nombreuses opportunités d’apprentissage. Alors mes parents me disaient toujours : « Si tu as besoin d’aide, pose des questions. » C’est mieux que de rester avec des connaissances limitées. Le meilleur conseil que j’ai donné est d’être ouvert à de nouvelles expériences, et c’était dirigé spécifiquement à des étudiants en stage. C’est important de prendre les projets qui se présentent - ne vous limitez pas en vous posant la question : « pourquoi est-ce que je fais ça? » Tout représente une expérience d’apprentissage, alors restez ouverts et réceptifs à toutes les opportunités qui se présentent à vous.

 

Parlez-nous un peu de vous.

Je m’appelle Lucas Minato et je suis un étudiant de troisième année en Administration des affaires à l’Université de Windsor. Je viens de London, en Ontario. Quelques faits intéressants à propos de moi : je collectionne les pièces de monnaie et je possède une Volvo.

Pourquoi avez-vous décidé de travailler à l’APWD?

J’ai toujours voulu faire partie d’un projet international de construction. Je réside actuellement à Windsor alors un projet de grande échelle comme celui-ci impacte définitivement la communauté. J’ai voulu m’impliquer depuis mon arrivée ici et après avoir connu l’APWD. En être aujourd’hui un employé est une bonne leçon d’humilité, car je me rappelle constamment l’objectif et de la mission de l’organisation. Tout comme bien d’autres personnes, j’espère voir le projet se réaliser et savoir que j’y ai joué un rôle.  

Comment se sont passées vos premières journées à l’APWD?

Mes premières journées ici ont été plutôt introductives et tous ceux avec qui j’ai travaillé ont été solidaires et ont influencé mon expérience d’apprentissage et de formation. J’ai appris l’emplacement de chaque département, découvert où ils entreposaient les fournitures de bureau, les valeurs, la mission et la structure de l’organisation. La première étape dans la reconnaissance des orientations de l’organisation fut pour moi comprendre les bases de l’organisation. Mon directeur m’a enseigné « les ficelles » du département de l’acquisition des propriétés aux États-Unis, ce qui m’a permis de comprendre son objectif et aussi son rythme. Mon mandat sera dynamique, car le département pour lequel je travaille est très occupé et mon poste m’obligera à réaliser des tâches quotidiennes et à long terme. À ce jour, j’en ai appris beaucoup sur le formatage dans MS Excel, ce que je n’avais jamais fait auparavant. J’espère développer et acquérir de nouvelles compétences grâce à ce stage. De plus, j’espère être un atout pour l’organisation et pouvoir y contribuer avec mes connaissances, mes compétences et mes habiletés, ainsi qu’en appliquant mon apprentissage en classe.

Comment pensez-vous que ce stage bénéficiera votre future carrière?

Mon poste de stage est dans le département de l’acquisition de propriétés américaines, qui est responsable de collaborer avec le MDOT dans l’acquisition de terres aux États-Unis pour le PDE. Il s’agit d’une fonction vitale pour le programme du projet et pour l’autorité et ses priorités sont élevées. Au sein de ce département, je fais l’acquisition d’expérience en gestion de dossiers et de systèmes de classement. Mes stages précédents ont impliqué ce type de travail, mais leur contexte était cependant différent. Je suis capable d’apprendre et de m’épanouir en continuant à appliquer mes connaissances académiques et mon expérience découlant de mes démarches antérieures. À l’avenir, j’espère aider et gérer ces systèmes, car ils m’intéressent beaucoup.

Quel animal vous représente le plus?

Selon un quiz sur brainfall.com, le chat est celui qui me représente le plus. « Le chat est indépendant et curieux. Vous pouvez avoir l’impression d’être souvent attiré par l’obscurité, avec le désir de découvrir ce qui se cache dans l’inconnu. Vous avez de vastes expériences de vie qui vous rendent aventurier et émotionnellement intense. » – Brainfall.com

 

Parlez-nous un peu de vous.

Mon nom est Matthew Moxey, je viens des Bahamas. Je suis un étudiant de quatrième année en Communications. Une chose intéressante à propos de moi est que je suis un poète publié au Royaume-Uni.

Pourquoi avez-vous décidé de travailler pour l’APWD?

J’ai choisi de travailler à l’APWD en raison de la nature du projet. Rapprocher encore plus deux pays dans un monde en constante évolution où les villes sont en voie de devenir sans frontières est très noble. Aussi, pendant mon entretien, mon superviseur Mark Butler a tellement bien présenté le projet que ça m’a vraiment donné le goût d’en faire partie.

Qu’aimez-vous le plus dans votre travail à l’APWD?

La qualité qui ressort le plus est l’esprit d’entraide. Tout le monde à l’APWD est toujours disponible et prêt à donner un coup de main. On sent que c’est une vraie équipe. Aussi, quand je travaille je ne me sens pas microgéré, ce qui, selon moi, contribue énormément à mon épanouissement dans le domaine de ma carrière et c’est une chose très rare à trouver dans des stages.

À quel point le travail à l’APWD diffère-t-il d’autres stages?

Le fait d’être une société d’État distingue l’APWD d’autres occasions de stages. Mais ce qui importe le plus, c’est le potentiel de travailler avec et dans un autre pays qui distingue définitivement l’APWD.

Si vous pouviez souper avec juste une personne célèbre (vivante ou décédée), qui serait-elle?

Je partagerais un repas avec la défunte Dre Maya Angelou. Quand j’étais jeune garçon, nous avions un « tapis magique » à la bibliothèque de l’école où nous nous asseyions pour écouter notre bibliothécaire réciter d’innombrables livres. Un jour, elle nous a lu un livre intitulé « Life Doesn’t Frighten Me » par Maya Angelou. À partir de ce moment, je me suis lié et suis devenu très attaché à la Dre Maya Angelou, et j’ai demandé tous les livres qu’elle avait écrits et tous les poèmes qu’elle avait composés à ma bibliothécaire. Son œuvre me parle et j’ai l’impression de l’avoir connue personnellement toute ma vie. Son écriture contient de nombreuses et riches leçons de vie qui m’ont guidé à travers plusieurs aventures dans la vie. Étant moi-même écrivain, une place à la table de la Dre Maya Angelou serait non seulement exaltant, mais un honneur qui changerait ma vie.